Les données accessibles sur le portail quadrige.eaufrance sont rassemblées à l’échelle nationale par différents acteurs : les agences de l'eau, les offices de l’eau et l'Office français de la biodiversité, l’Ifremer, les services de l’État (comme les DDTM, DREAL, ARS), les bureaux d’études, les associations, les universitaires ...

Elles sont produites dans différents contextes qui peuvent justifier l’existence de niveaux d’exigence variables sur la nature des données recueillies, leur quantité ou leur précision. Ces données peuvent ainsi être produites dans le cadre :

  • des programmes de surveillance établis conformément à la Directive européenne 2000/60/CE (DCE), dont la mise en œuvre sur le territoire français est définie dans l’arrêté surveillance du 17/10/2018 ;
  • de réseaux spécifiques mis en œuvre par des partenaires comme les conseils généraux ou DREAL pour le suivi des estuaires bretons par exemple ;
  • d’études d’impact financées par les agences et offices de l’eau ou les DEAL ;
  • des réseaux de mesures « historiques » (e.g. ROCCH) opérés par l’Ifremer.

Le système est constitué d’une base regroupant les données observées sur le terrain. Il s’appuie sur des référentiels qui sont partagés aux niveaux national et international. Il permet de saisir la donnée manuellement, de façon automatisée (fichiers de sonde par exemple) ou par importation directe de fichiers aux standards SANDRE (QELI ou Quadrilabo).

Cette banque de données est complétée et enrichie par des saisies quasiment quotidiennes pour les programmes déjà bancarisés.

Le portail quadrige.eaufrance est actualisé toutes les nuits. Une donnée validée ce jour dans Quadrige est disponible le lendemain si elle n’est pas sous moratoire.

Dans cette rubrique

Vie de la donnée

Depuis sa création, une donnée doit passer par plusieurs étapes avant d'être mise à disposition dans Quadrige.